Ressources utiles dans une démarche de recherche de stage

Un stage vous procure une expérience sur le terrain dans un environnement professionnel en dehors de la salle de classe. Un stage peut vous aider à faire des choix de carrière, vous diriger vers une nouvelle direction dans le cadre de vos études, vous permettre de développer de nouvelles compétences, et vous procure des qualifications et des contacts utiles pour votre prochaine recherche d’emploi.

Vous trouverez sur cette page différents outils et conseils pour vous aider dans votre rechercher de stage.


Étapes pour une recherche de stage effective

1. Déterminer le domaine qui vous intéresse

  • Quel milieu/domaine vous intéresse?
  • Quels genres de charges voulez-vous assumer?
  • À quelle session ferez-vous votre stage?
  • Combien de temps devra durer votre stage?
  • Désirez-vous faire un stage local ou à l’étranger? Dans ce cas, dans quelle région du monde ou dans quel pays?

2. Élaborer une planification réaliste

  • Préparez votre stage longtemps à l’avance.
  • Si vous cherchez un stage pour l’automne, commencez à faire vos recherches dès l’hiver.
  • Prévoyez du temps chaque semaine pour la recherche d’opportunités, le réseautage, la révision de votre CV, la rédaction des lettres de présentation, les appels téléphoniques, le suivi avec les organisations, la rencontre avec les personnes ressources, etc.

3. Où et comment chercher?

  • Consultez fréquemment les offres de stage publiées sur le site du Centre de développement professionnel
  • Rejoignez des groupes en lien avec vos champs d’intérêt professionnels sur Facebook mais également sur LinkedIn et Twitter. À titre d’exemple, le groupe « Réseau emploi Science politique » publie régulièrement des offres sur Facebook.
  • Faites le tour des sites web des organismes qui vous intéressent, il est possible que des offres de stages y soient publiées.
  • Exploitez vos réseaux familiaux et amicaux.
  • Renseignez-vous auprès d’étudiant.es qui ont effectué des stages par le passé.
  • Cherchez conseils auprès de toutes les personnes qui travaillent ou œuvrent dans le domaine qui vous intéresse, y compris les professeurs.
  • Ne vous contentez pas d’écrire des courriels lorsque vous prenez contact avec les organisations. Appelez les personnes ressources, discutez avec les responsables des stages.
  • Faites un suivi avec toutes les personnes qui vous donnent des informations.

Préparer sa candidature

1. Le curriculum vitae et la lettre de présentation

Rédiger un CV n’est pas chose facile. Il est donc important de ne pas attendre à la dernière minute pour s’y mettre.

Une lettre de présentation doit toujours accompagner le CV. Elle sert à faire le lien entre vous et le lieu de stage. C’est cette lettre qui est lue en premier et qui incite ou non à la lecture du reste du dossier. Elle doit être efficace, personnelle et faire ressortir vos points forts de même que votre intérêt pour le stage convoité. Elle peut apporter des précisions supplémentaires et elle doit accrocher l’attention du recruteur et le convaincre que vous êtes la meilleure personne pour ce stage. Ne vous contentez pas d’affirmer votre compétence : donnez des exemples. Souvenez-vous que le recruteur lit une multitude de CV.

Pour des conseils sur la rédaction du CV et de la lettre de présentation, référez-vous au guide rédigé par le Centre de développement professionnel de la Faculté. 

  • De plus, surveillez les activités ainsi que la page Facebook du CDP, des ateliers de rédaction de CV et de lettre de présentation sont offerts chaque semestre.
  • Par ailleurs, le département des Services à la vie étudiante de l’UQAM offre une assistance dans ce domaine. Visitez leur site web  pour connaître la liste des services offerts.
  • Enfin, pour une révision personnalisée de vos documents, vous pouvez prendre rendez-vous avec la responsable des stages de la Faculté de science politique et droit, Coline de Lagarde.

2. La lettre de recommandation

Vous aurez peut-être besoin de joindre une ou plusieurs lettres de recommandation à votre dossier de candidature. Si vous devez approcher un.e enseignant.e pour une lettre d’appui ou de recommandation, commencez par vous nommer. Précisez dans quel but vous avez besoin de cette lettre : pour obtenir une bourse, un stage, une admission dans un programme, un emploi ? Quel est votre projet ?

De plus, il est pertinent de joindre un relevé de notes et un exemple d’un travail que vous avez fait dans ce cours afin que la lettre d’appui soit la plus personnalisée possible. Plusieurs enseignant.es apprécieront que vous soumettiez un canevas de lettre.

Rappelez-vous que les enseignant.es sont occupé.es, il est donc important de vous y prendre plusieurs semaines à l’avance pour demander des lettres de recommandation.

3. L’entrevue d’embauche

Lorsque votre candidature est retenue pour un entretien d’embauche, préparez-vous préalablement à cet exercice afin d’être le plus à l’aise possible le jour de l’entrevue. Référez-vous au guide de la préparation à l’entrevue d’embauche du Centre de développement professionnel.

  • De plus, surveillez les activités ainsi que la page Facebook du CDP, des ateliers de simulation d’entrevue sont offerts chaque semestre.
  • Par ailleurs, le département des Services à la vie étudiante de l’UQAM offre une assistance dans ce domaine. Visitez leur site web  pour connaître la liste des services offerts.

Trouver un stage

1. Réseautage

Le réseautage constitue l’un des meilleurs moyens de trouver un stage. N’hésitez pas à contacter toutes les personnes qui possèdent des connaissances sur le domaine auquel vous vous intéressez, ainsi que toutes les autres personnes qui pourraient vous informer, assister et/ou conseiller d’une façon ou d’une autre.

Assurez-vous d’envoyer un mot de remerciement à chaque personne qui vous a porté assistance tout au long de votre processus de recherche de stage. 

LinkedIn est un excellent outil pour la recherche de stage par réseaux. Cliquez ici pour savoir comment maîtriser l’art de bâtir un réseau de contacts avec Linkedin,

L’association étudiante AIESEC  ainsi que le réseau Connexion internationale Montréal sont également des outils privilégiés pour optimiser la recherche de stage à l’international.

2. Candidature spontanée

Plutôt que d’attendre de répondre à une offre de stage ou de postuler dans un programme  de stage établi, vous pouvez offrir vos services aux organismes qui vous intéressent.

Dans ce cas, il s’agit d’être le plus précis possible dans votre lettre de présentation: précisez la période à laquelle vous serez disponible, votre formation, votre expérience.

  • Que pouvez-vous leur apporter?
  • Que vont-ils y gagner?
  • Qu’attendez-vous d’eux?
  • Voulez-vous développer un projet particulier ?

Certains programmes offres des subventions pour les stages en entreprise. Renseignez-vous sur sources de financement, ce pourrait être un argument de plus pour votre candidature auprès d’une organisation.
À titre d’exemple, voir le Programme Accélération de MITACS.

N’oubliez pas qu’un stage se doit d’être formateur. 
L’organisme devra désigner un superviseur qui évaluera le succès de votre stage.

3. Les offres de stage sur le site du Centre de développement professionnel de la Faculté de droit et Science politique

Consultez fréquemment les offres de stages publiées sur le site du Centre de développement professionnel.

Stages à l’étranger

Tout d’abord, il est important de mentionner que lorsque vous envisagez de faire un stage à l’étranger, vous devez impérativement entamer les démarches environ un an à l’avance. En effet, outre les démarches et formalités administratives à prévoir, bien souvent il vous faudra faire une demande de bourse pour financer votre séjour. 

Pour avoir une vision globale de la vie à l’étranger, vous pouvez consulter Vivre à l’étranger – Guide à l’intention des travailleurs, étudiants, bénévoles et retraités canadiens à l’étranger du Gouvernement du Canada. 

Le financement

Le financement d’un stage étant souvent la condition sine qua non de sa réalisation.

L’obtention d’une bourse à la mobilité peut certainement alléger le stress financier. Cependant, tous pays n’ont pas le même coût de la vie. Il est essentiel de s’informer, au préalable, des coûts concernant les besoins essentiels (loyer, nourriture, transport). 

Par exemple, si votre stage se situe à Édimbourg, en Écosse, et que vous partez avec un budget de 10 000 $ canadiens, il se réduit à environ 5700 livres sterling après la conversion. Or, le coût de la vie étant particulièrement élevé au Royaume-Uni, il se peut fort bien que votre budget soit insuffisant pour la durée du stage. Demandez-vous quelles sont vos capacités financières et prévoyez un budget réaliste, cela vous évitera de subir un stress supplémentaire qui pourrait nuire à la réalisation de votre stage. 

Le convertisseur de devise (Banque du Canada) est un bon moyen pour déterminer vos capacités financières à l’étranger. Vous pouvez également contacter votre banque qui vous informera du taux actuel d’une devise. 

Également, il est vital de demeurer à l’affût des différents concours tout au long de l’année. 

Chaque concours a ses règles propres : certains ne sont ouverts qu’une fois par année, certains ne considèrent que les résultats scolaires alors que d’autres tiennent compte du rapport entre le stage et leur organisme ou de l’implication sociale du candidat.

Notez que certains organismes ont des exigences liées au financement: souvent le stagiaire doit présenter à son retour une conférence, une vidéo, faire une ou des activités de sensibilisation du public, etc.

Du Québec

  • Les Bourses à la mobilité du ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur (MEES) sont les plus communément utilisées pour réaliser un stage ou étudier à l’étranger. Il s’agit d’une bourse de subsistance pouvant aller de 500$ à 4000$ par séjour.
  • Les Bourses à la mobilité de la FSPD d’un montant de 350$ permettent aux étudiant.es de la FSPD de réaliser un court séjour de recherche ou un stage, de participer à une école d’été ou à une activité pédagogique, ou de présenter les résultats de leurs recherches dans un événement scientifique.
  • Les Offices jeunesse internationaux du Québec (LOJIQ) qui regroupent l’Office franco-québécois pour la jeunesse (OFQJ), l’Office Québec-Amériques pour la jeunesse (OQAJ), l’Office Québec-Monde pour la jeunesse (OQMJ ) et l’Office Québec Wallonie Bruxelles pour la jeunesse (OQWBJ) offrent également des bourses.  
  • Programme de bourses des gouvernements étrangers : Conformément aux accords bilatéraux et aux ententes de coopération signées entre le gouvernement du Québec et des gouvernements étrangers en matière d’éducation et de formation, plus d’une centaine de bourses sont offertes à des étudiants québécois qui souhaitent étudier ou faire de la recherche à l’étranger. Ceux-ci doivent être citoyens canadiens ou résidents permanents, avoir leur domicile au Québec depuis au moins un an et y avoir leur résidence permanente. Ces programmes de bourses des gouvernements étrangers proviennent des pays suivants : Allemagne, Bavière, Cameroun, Chine, Colombie, Communauté flamande de Belgique, Communauté française de Belgique, Corée du Sud, Égypte, Luxembourg, Mexique, Rwanda, Tunisie, Vietnam
  • Secrétariat à la jeunesse Québec : Bourses, subventions et crédits d’impôt (voir aussi Aide financière et Stages)

Du Canada

International et autres

Collecte de fonds

 Il est également possible de faire une collecte de fonds pour financer votre projet, qu’il soit individuel ou de groupe. Voici deux organismes qui ont publié un guide ou une page sur ce sujet :

Le visa

Il est de la responsabilité de l’étudiant de faire les démarches pour obtenir les visas nécessaires le cas échéant. Ne sous-estimez pas la durée de la démarche pour certains pays, qui peut parfois entraîner des délais suffisamment importants pour causer l’annulation d’un stage.

Consultez les sites suivants pour obtenir les coordonnées canadiennes des bureaux de gouvernements de pays étrangers dans lesquels vous êtes susceptibles de faire un stage.

Les vaccins

Ici encore, l’étudiant doit se renseigner pour connaître les vaccins nécessaires pour le pays ou la région visités. La Faculté ne fait pas de recommandations à ce sujet : ceci est du ressort d’un professionnel de la santé.

Consultez la page Un bon départ – un guide santé à l’intention des voyageurs canadiens pour s’informer adéquatement et adopter les mesures de prévention adaptées à votre pays de destination.

Par ailleurs, vous trouverez des informations complémentaires relatives à la santé sur la page des Conseils de santé aux voyageurs du Gouvernement du Canada.

Les assurance

Les étudiants qui désirent faire un stage à l’étranger doivent s’assurer qu’ils sont dûment inscrits avant de quitter. Si un accident de travail devait survenir, vous seriez couvert par la CSST, qui protège les étudiants comme les employés dans le cadre de leurs fonctions. Si vous n’êtes pas inscrit à un cours stage, que ce soit parce que vous n’avez pas le nombre de crédits requis ou au contraire parce que vous avez déjà tous vos crédits de stage, vous devenez un individu (et non plus un étudiant) qui fait un stage, même si vous demeurez inscrit à un programme d’études de l’UQAM.

Ceci n’est pas la même chose que l’assurance à laquelle vous devrez souscrire pour compléter la couverture de la Régie de l’assurance-maladie du Québec (RAMQ), pour l’assurance hospitalisation, médicament et rapatriement. Vous procurer une assurance voyage est recommandé lorsque vous quittez le Québec. En général, les services de santé couverts hors Québec sont remboursés en partie par le régime d’assurance maladie. L’assurance voyage permet de couvrir la part non remboursée par la RAMQ. Autrement, elle est à votre charge.

Vérifiez sur le site de la RAMQ dans quels cas vous devrez signaler votre absence du Québec.

Ensuite contactez l’ASEQ – votre régime collectif de soins de santé et dentaires – pour connaître votre couverture d’assurance en précisant votre pays de destination. Vous jugerez ensuite si elle vous convient ou si vous devez en contracter une complémentaire.

La sécurité

Nous recommandons à tous les étudiants qui font un stage à l’étranger de s’inscrire au ROCA (Registration of Canadians Abroad),  le Service d’inscription des Canadiens à l’étranger du ministère des Affaires étrangères et du Commerce international

Par ailleurs, il est impératif de suivre les conseils aux voyageurs  du Gouvernement du Canada pour connaître le niveau de risque du pays ou de la région où vous comptez faire votre stage.  

Le MAECD classe les pays et régions selon quatre niveaux de risque :

  • Niveau 1. Prendre des mesures de sécurité normales
  • Niveau 2. Faire preuve d’une grande prudence
  • Niveau 3. Éviter tout voyage non essentiel
  • Niveau 4. Éviter tout voyage

Les étudiants inscrits à un stage sont sous la responsabilité de la Faculté de science politique et de droit (FSPD) et, par conséquent, de l’UQAM. À la suite de consultations, la FSPD a décidé de ne jamais créditer un stage dans une région ou un pays pour lequel l’alerte est de niveau 4. Si votre région est considérée de niveau 3 (un stage n’est pas considéré comme un voyage essentiel), il faudra démontrer à la Faculté que des mesures suffisantes ont été prises par l’organisme qui vous reçoit en stage pour assurer votre sécurité. Consultez alors l’agente de stage pour connaître les informations à présenter et le formulaire à remplir.

Si la démonstration faite ne répond pas aux exigences, la Faculté peut refuser de créditer le stage tout comme le Service des relations internationales (SRI) peut refuser de verser la bourse du ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport (MELS). Tout autre organisme pourrait retirer son financement. En conséquence, les étudiants doivent savoir ce qu’ils risquent quand ils entament des démarches pour l’achat du billet d’avion, du visa ou des vaccins. La situation politique – ou climatique – d’un pays peut parfois changer en quelques heures. Les étudiants qui se destinent à une carrière internationale doivent savoir que des modifications de dernière minute qui ruinent tous leurs efforts sont assez fréquentes. Les étudiants doivent évaluer le niveau d’incertitude avec lequel ils sont prêts à vivre dès le début de leurs démarches et faire leurs choix en conséquence.

N’oubliez pas de vous renseigner sur la situation climatique; pensez à la saison des ouragans qui s’étend du début juin à la fin novembre et qui touche plusieurs pays. 

Dès votre arrivée, prenez connaissance de l’emplacement à votre ambassade. Vous pouvez même y faire un tour. Nous vous suggérons d’avoir, en tout temps, le numéro en note ainsi que l’adresse. 

Si vous êtes en situation d’insécurité physique ou de menaces, voici le numéro à frais virés et le courriel du ministère des Affaires étrangère du Canada : 613-996-8885 \ sos@international.gc.ca  

Un Stage à l’étranger en tant que femme

Le gouvernement canadien met à votre disposition une brochure intitulée Voyager au Féminin qui peut vous donner des conseils sur les attitudes à favoriser selon le pays de destination. 

Sachez que ce qui pourrait être considéré comme banal ici, pourrait s’avérer mal interprété à l’étranger. En tant que femme vous pouvez être considérée différemment. Pour éviter le choc et assurer votre sécurité, il est primordial que vous soyez renseignée. 

La formation pré-départ et le choc culturel

La maîtrise de la langue locale tant à l’écrit qu’à l’oral est indispensable à l’insertion interculturelle et professionnelle du stagiaire dans son nouvel environnement. Il est de ce fait essentiel de se renseigner adéquatement sur les exigences linguistiques du stage, afin d’éviter les mauvaises surprises.

De plus, le ou la stagiaire sera également confronté-e à d’autres types de différence culturelle durant son séjour. Par conséquent, il est important de s’y préparer convenablement afin de maximiser l’intégration dans le milieu de stage, maintenir une bonne qualité de relations interpersonnelles et ainsi optimiser le succès de l’expérience.

Le choc culturel touche, au moins une fois, presque tous expatriés lors du séjour à l’étranger. Cela consiste en la perte de nos repères et habitudes. À votre arrivée, vous êtes dans la phase appelée «lune de miel». Vos rencontres et votre quotidien sont stimulants, et vous êtes confortable dans votre nouvel environnement.

Or, à un moment, vous commencez à ressentir un mal l’aise ou un sentiment de grand vide. Certains ressentirons une colère, de la frustration, de l’irritabilité, une perte du sens de l’humour, voire même un sentiment négatif à l’endroit des habitants et de la culture du pays. L’ennui et l’incapacité à être fonctionnel au travail sont égalements les symptômes les plus courants.

Rassurez-vous cette phase est temporaire et passe généralement au bout de quelques semaines ou quelques jours. Après la période du «choc», vous commencerez de nouveau à accepter votre milieu et vous y sentir bien. 

Laissez-vous du temps d’adaptation !

La Faculté n’offre pas de formation pré-départ pour les stages internationaux. Cependant, nous vous conseillons de prendre contact avec le Service des Relations internationales qui pourra vous donner les outils nécessaires. 

Certaines organisations offrent une formation pré-départ. Nous ne pouvons que vous encourager à y participer. Une formation pré-départ vous permettra d’avoir une vue d’ensemble sur votre futur milieu de stage ainsi que sur le pays dans lequel vous vous trouverez. 

Voici quelques astuces pour amortir le choc et favoriser l’adaptation :

  • Avant votre départ, renseignez-vous sur la culture du pays 
  • À votre arrivée efforcez-vous d’aller à la rencontre des gens. Ne vous excluez pas ! Apprenez les manières de saluer, les «codes» vestimentaires, comment se comporter et quelques phrases dans la langue étrangère. Cela témoignera de votre désir de vous intégrer. 
  • Ayez des pensées réalistes et positives, laissez-vous du temps pour rencontrer de nouvelles personnes. 
  • Pour favoriser le sentiment d’appartenance, efforcez-vous de participer à des activités. Que celles-ci soient culinaires, musicales ou sportives. Vous créerez plus facilement de nouveaux liens. 
  • Également, ne coupez pas les ponts avec votre famille ou vos amis du Canada. Ils peuvent vous épauler et vous écouter dans les périodes plus difficiles. De confier nos inquiétudes et problèmes à des personnes qui nous connaissent allège le choc. 
  • Prenez soin de vous. Dormez et mangez à des heures et rythmes réguliers et constants. La fatigue nuit à la stabilité émotionnelle. Une bonne nuit de sommeil redonne l’énergie que l’on peut manquer sans s’en rendre compte. Également, limitez votre consommation d’alcool si vous vous sentez irritable et fragile. 
  • Si votre sentiment d’isolement persiste essayer de prendre contact avec d’autres expatriés canadiens ou québécois. Les réseaux sociaux sont une bonne piste pour retrouver des gens dans une situation commune à la notre. 

Important : Si le choc persiste, communiquer avec le personnel de votre établissement pour qu’ils vous orientent selon votre situation. Chaque personne réagit différemment au choc culturel, ne minimiser pas vos sensations

Le choc du retour

Une situation parfois plus surprenante à vivre est le choc culturel que vous pouvez ressentir à votre retour. La meilleure façon de le vivre est de s’y préparer. 

Vous trouverez ici une documentation relative au choc du retour ainsi qu’aux moyens de l’atténuer.

Par ailleurs, si vous souhaitez discuter de votre stage à votre retour au Québec, vous pouvez prendre contact avec l’équipe de Soutien psychologique des Services à la vie étudiante de l’Université.

Exemples de lieux de stages

Ces différents lieux de stage ont été sélectionnés pour l’intérêt qu’ils présentent pour les étudiant.es des différents programmes de la Faculté.

Notez bien que nous n’avons pas nécessairement d’entente avec ces organismes; ils peuvent offrir ou non des stages de façon ponctuelle. Vous pouvez les contacter pour proposer vos services, ou faire vos recherches en-dehors de cette liste qui n’est pas exhaustive.

Presse et médias

Fonction publique fédérale

Fonction publique provinciale

La fonction publique provinciale engage des stagiaires tout au long de l’année. Ce programme donne une expérience de travail aux étudiant.es qui désirent effectuer des stages dans les ministères et organismes de la fonction publique québécoise durant leur cursus.

En savoir davantage sur le Programme de stages


Témoignages d’étudiant.es ayant suivi un stage :